Il est impossible d'aborder ce sujet sans en traiter un autre, le ponçage...
Si, lorsqu'on fait un choix d'essence judicieux, on peut se passer de finition, il est habituel de poser une finition sur les pièces de bois, qui nous entourent.
Le besoin peut avoir deux origines :
Esthétique : on peut souhaiter colorer le bois à l'aide d'une peinture, d'une lasure, ou lui donner un aspect plus chaud ou plus brillant par une huile, un vernis ou une cire.
Technique : les caractéristiques naturelles de l'essence mise en œuvre sont insuffisantes par rapport à l'usage souhaité. On peut alors traiter notre bois contre les insectes ou les champignons.
Dans les deux cas, on va apporter sur notre bois, un produit, généralement liquide, qui va adhérer plus ou moins bien, selon la préparation de notre support, c'est là qu'intervient le ponçage.
Les objectifs liés à un abrasif sont divers, il peut s'agir de rectifier ou décaper une surface, de poncer pour donner un aspect régulier, d'égrener ou polir.
En fonction de l'usage, la nature des grains va évoluer.
On dépose sur une surface non absorbante, une goutte d'eau et une goutte de solvant. L'eau fait"la bille"(2 gouttes), alors que le solvant s'étale et
Le ponçage aide à réguler cette pénétration, et sert de réservoir à la teinte, pour en uniformiser la couleur. Pour le vernis, cela augmente la surface de contact, donc l'adhérence entre le film et le bois.
Sur le chantier, après avoir blanchi les bois à l'orbitale et au tank (ponceuse bande longue portative), nous utilisons, pour les solives, de l' huile de lin.
Pendant que la première couche d'huile sèche au soleil, on en profite pour faire une pause découverte. Au programme, découverte d'un chaulage pour boiseries intérieures, et d'une lasure à la bière.
La peinture à l'ocre est au programme dans le chapitre sur les volets.
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